Se mettre dans une logique de maîtrise de l’énergie constitue un enjeu économique réel pour chacun, que ce soit pour les organismes publics ou privés. C’est la raison pour laquelle de multiples voies se dessinent pour parvenir à faire des économies d’énergie. La valorisation de la chaleur fatale fait partie des plus concrètes. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir sur la chaleur fatale à Nantes.

Que signifie la chaleur fatale ?

Le terme chaleur fatale à Nantes recouvre la quantité de chaleur restante d’un processus ou d’un certain produit non utilisé par celui-ci. Elle est particulièrement répandue dans :

  • Les lieux de création d’énergie, comme les centrales nucléaires,

  • Les établissements de production industrielle,

  • Les immeubles tertiaires qui utilisent une grande quantité d’énergie dégagent par conséquent encore davantage de chaleur fatale. Il s’agit ainsi, des centres hospitaliers, des circuits fermés de transport ou des lieux de décharge, tels que les centres de traitement thermique des déchets.

La chaleur fatale, bien que connue sous le nom de chaleur perdue, représente par conséquent une source d’énergie valorisable.

Comment résoudre le défi de la valorisation de la chaleur fatale ?

La valorisation de la chaleur fatale à Nantes représente un important gisement économique sur le plan énergétique. Elle représente par conséquent une occasion pour les industriels de réaliser des gains et de réduire leur facture énergétique. De fait, ce gisement énergétique inexploité peut être thermiquement revalorisé grâce à deux voies :

  • En interne, la valorisation consiste à couvrir les demandes de chauffage de l’entreprise,

  • La valorisation externalisée peut servir à satisfaire les exigences d’autres compagnies ou davantage d’un territoire, par le biais d’un système de gestion de réseau de chaleur,

  • En complément de cette récupération thermique, la chaleur perdue peut aussi être convertie en courant électrique afin d’être réutilisée pour des usages intérieurs ou extérieurs.

Valorisation et transformation.

Il est possible de regrouper les processus industriels les uns avec les autres : la chaleur fatale à Nantes valorisée dans un procédé donné peut, par le même exemple, servir à en faire fonctionner un autre. Enfin, ces installations deviennent une réserve potentielle de chaleur destinée à un segment du secteur tertiaire ou du secteur résidentiel, ainsi qu’à un bassin du secteur industriel. Ces prévisions apparaissent comme étant des éléments concrets et pertinents puisque la maîtrise de l’énergie constitue l’un des axes majeurs du combat mené contre le changement climatique. Or, ce résultat est impossible à obtenir sans une véritable coopération des acteurs. La récupération de la chaleur fatale à Nantes laisse entrevoir de réelles possibilités de parvenir à une utilisation responsable de l’énergie et de diminuer les coûts.

La valorisation de la chaleur fatale : un solide enjeu

La chaleur perdue est pratiquement tout le temps rejetée dans la nature. Les possibilités qui en découlent ne sont jamais exploitées. Il est pourtant énorme. Selon une étude de l’ADEME, il est évalué à 109,5 TWh, équivalent à un quart de la production de courant électrique par an en France. Ce dépôt porte pour la moitié sur de la chaleur fatale à Nantes excédant une température de 100°C, à savoir un seuil thermique fortement récupérable. Les sociétés qui valorisent cette chaleur consomment l’énergie thermique existante sur place et déjà rémunérée. Ces derniers échappent à la consommation d’énergie et par conséquent à un rejet de gaz à effet de serre. Un plus pour diminuer la facture énergétique, mais également pour le respect de la planète.